Le soleil est parti rejoindre ses quartiers de repos, mais la pluie s’est abstenue, ce samedi 12 mars.
Le carnaval est réapparu après l’absence longue due au Covid.
Confettis et costumes les plus divers étaient au rendez-vous de la convivialité.
Les Solersois ont participé nombreux.
Pendant ce temps, rue des Merisiers, un nouveau décor est venu rappeler que notre village possède son vignoble, voir même plusieurs maintenant.
Cet appareil semble plus destiné aux pommes, à priori, mais dans notre département, les pommes et la vigne se sont côtoyées , se succédant les unes aux autres.
L’arrivée du mois de mars favorise les activités culturelles. C’est ainsi que sous quelques jours, le carnaval fera sa réapparition, organisé par le Comité des Fêtes. Le 26 mars, une soirée Contes est proposée à Coubert, j’y reviendrais sous 8 jours.
Le retour du théâtre est aussi au programme les 2 avril , 3 à 5 juin.
Les amateurs de pêche retrouveront le 1 mai, leur activité favorite à l’étang, journée organisée par le Comité de Fêtes.
Les enfants ont rendez-vous avec la chasse aux œufs le 17 avril et les Aînés le 22 mai pour le repas traditionnel animé.
Un peu plus loin, place sera donnée à la Fête du Village le 2 juillet. On regrette toutefois, l’absence d’une tradition à Solers, soit la Fête de la St Jean. Espérons la voir revenir dans les années suivantes.
Côté aménagement, les escaliers sont en rénovation à l’Arborétum sortie rue Maria Viala. Ils seront plus confortables, bien que étroits. Une rambarde serait la bienvenue. Coté rue des Edelweiss, le regard est à refaire, car bien cassé et surélevé. Là aussi, un petit portique piéton serait plus conforme que cette buse de chantier en béton, reconvertie en pot de fleurs.
La construction n’est pas de reste non plus, et on aperçoit des nouveaux chantiers à de multiples endroits. Un nouveau quartier sort de terre côté Soignolles en Brie.
Enfin vous trouverez sous cet article, l’appel aux dons de soutien humanitaires pour l’Ukraine.
es viticulteurs ont commencé à utiliser la bouillie bordelaise pour lutter contre le mildiou, arrivé au vignoble 5 ans plus tôt dès 1883. « La longévité de l’utilisation du cuivre est liée à son action multisite, rendant peu probable l’apparition de résistances » a expliqué Audrey Petit, ingénieure à l’Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV) Occitanie, lors d’un webinaire organisé en partenariat avec Vitisphere ce 2 février.
Revers de la médaille, étant un produit de contact, il n’est efficace que sur les feuilles ou grappes présentes au moment de la pulvérisation, et il est facilement lessivable. « Ponctuellement, le cuivre peut s’avérer phytotoxique et générer une mortalité importante à la plantation dans les sols où il est présent en trop grande quantité » a poursuivi Audrey Petit, rappelant également que des études sont en cours pour évoluer son impact sur l’environnement.
